• 26 januari 2025 1:23 AM

La guerre en cours en Ukraine reste le sujet le plus préoccupant en Europe. La déclaration récente du président français Macron sur l’implication directe possible de son pays dans la guerre était un signe d’une possible escalade supplémentaire.

Les leaders mondiaux appellent à un cessez-le-feu

Le pape François a récemment appelé à un cessez-le-feu immédiat. Nous constatons également une préoccupation croissante à l’ONU concernant de possibles nouvelles initiatives de cessez-le-feu et de négociation.

La conférence parlementaire grecque sur la paix

Mecredi dernier 20/03/2024, le Parlement grec a accueilli une conférence sur les moyens d’atteindre la paix en Ukraine. Quatre membres éminents du parlement ont présenté leur vision sur la façon de stopper la guerre : Alexandros Markogiannakis, Athanasios Papathanassis, Ioannis Loverdos et Mitiadis Zamparis.

Un député grec plaide pour la paix

Le député Athanasios Papathanassis a exprimé l’opinion de nombreux Grecs concernant le besoin de paix : « L’Ukraine a été le pont entre l’Europe et la Russie et le désir de contrôler et d’influencer ce pays a conduit à des confrontations géopolitiques avec un impact mondial. Dans ce contexte désastreux, un effort collectif et une flexibilité diplomatique sont nécessaires pour promouvoir et établir la paix ».

Perspectives de la science politique

La situation a été analysée de manière perspicace par le renommé politologue et personnalité médiatique, le professeur Frederic ENCEL. Il a exprimé son scepticisme quant aux chances d’une implication pacifique de l’ONU et a suggéré que les deux côtés du conflit se réunissent pour trouver une solution. Encel a élaboré sur la politique de la France envers la Russie, qui a été amicale et équilibrée pendant de nombreuses décennies. Nous sommes maintenant à l’aube d’un changement en raison de la crainte que la possible victoire imminente de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine mène à un affaiblissement de l’OTAN.

L’appel à la paix du vice-maire d’Athènes

Un appel spécial à la paix est venu du vice-maire d’Athènes, Elli Papageli. Elle a appelé à une fin immédiate de la guerre par des moyens diplomatiques. Le vice-maire Papageli a exprimé des craintes de guerre nucléaire et a parlé de ses conséquences économiques désastreuses pour l’Europe.

Critique de l’expansion de l’OTAN

L’ancien analyste de la CIA et expert en contre-terrorisme du Département d’État, Larry Johnson, a critiqué l’expansion de l’OTAN et les fournitures d’armes européennes à l’Ukraine. Son idée d’un règlement pacifique était basée sur sa vision que l’Occident interprétait mal les intentions de la Russie. Johnson a critiqué l’Europe et les États-Unis et a appelé à « ne pas jeter d’huile sur le feu ».

Focus sur les préoccupations humanitaires

Manel Msalmi, présidente de l’Association européenne pour la défense des minorités, a souligné la détresse des femmes et des enfants pendant la guerre et la nécessité de restaurer la paix. Elle a rappelé que lors de l’assemblée de l’ONU, le secrétaire général de l’ONU a appelé à la paix dans le pays. Elle a loué Athènes comme un modèle de démocratie et a cité Aristote : « La paix ne peut être maintenue par la force, elle ne peut être atteinte que par la compréhension ». Elle a noté que « de plus en plus, des politiciens sensés tels que le ministre italien de la Défense parlent du début des pourparlers de paix, mais pour le moment, l’UE prépare un plan d’aide financière de 50 milliards d’euros pour l’Ukraine

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